Abandonné des aurores de marbres

Ma Reine tu m’as quitté
À présent je suis seul avec mes larmes froides grises et longues
Et toi tu es loin de moi et tu m’as oublié et je suis amoureux
De ta cruauté de ton élégance de ton charme de ta virilité sensuelle.
Tu devines peut-être ma prison argentée
Dans laquelle ton Départ m’a enfermé.
Je ne sais toujours pas la raison de ta fuite.

Écoute le chant du désespoir, il t’appelle à lui
Il est séduisant ne me le cache pas
Son parfum te plait ses manières te charment
Ne me contredis pas je préfère tes aveux.
Mais non, je ne pleure pas
J’essaie de te garder
Près de moi
Un petit
Tout petit
Instant
De plus.