A

Le bel ouragan trop serré
Dans son corset trop sérieux
Pour une si petite chambre
Si douce et si brune
Élégante

et matinale
comme une journée de la fin du
doré mois d’août

Le visage qui m’entoure
De son image
De ses atours
Et la fin de ce supplice n’est que
le commencement
d’un autre
Et mon départ obligé torture mon
cœur